À tête reposée et sans vouloir confondre les 103 paysans à l’origine de la contestation du Larzac et leurs soutiens avec le camp zadiste d’aujourd’hui, José Bové identifie quelques nœuds communs aux deux situations. Et insiste sur l’intérêt qu’il y aurait à débrouiller lentement la question foncière à Notre Dame des Landes, née d’une part des achats de terres pour la réalisation de l’aéroport et, d’autre part, à l’occupation de la ZAD.
Sur le Larzac, une priorité était d’éviter la violence. C’est une des leçons du plateau. Qui sait le temps long qu’il faut prendre pour négocier le sort des terres sait le prix de la vie humaine.
Une émission, enregistrée et diffusée avant la décision d’abandon du projet, à re-écouter dans son intégralité grâce au lecteur ci-dessous :
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